Autofiction
Déjà autrice de deux romans publiés en France, Léa Arthemise fait paraître une œuvre aux ramifications complexes conjuguant biofiction, autofiction et intrigue policière.
Entre fiction et autofiction, le poète Franz Schürch prend acte, dans ce premier roman, des vertiges ordinaires, joyeux et malheureux, d’un groupe d’ami·es et d’amant·es.
Le petit astronaute est une de ces œuvres qu’on commence sans appréhension et qui, tout au long de ses pages, nous renverse. C’est beau, mais beau…
Oubliez tous les prix prestigieux qu’elle a gagnés. Oubliez les codes du polar, les attentes habituelles envers le genre, abandonnez-vous au brouillard et au labyrinthe. Ne règne ici que la littérature.
Essai personnel, autofiction, journal de bord réflexif, il serait bien difficile d’assigner une catégorie aux Argonautes, livre à la forme multiple et non conventionnelle.
En lisant Bermudes, on s’aperçoit bien vite que le grand absent du titre est le mot «triangle»: celui où, selon la croyance populaire, s’évanouissent énigmatiquement de nombreux navires.
Audrey Beaulé nous propose de parcourir, à sa manière, l’autoroute du Souvenir.
Les écrivain·es dont les ouvrages d’autofiction explorent le thème de la peine d’amour sont légion. Julie Delporte se démarque du lot par son honnêteté.
Un délicieux mélange : une quête amoureuse inspirée par les révélations d’une voyante et une réflexion théorique sur l’autofiction. Un récit aussi jouissif pour le cœur que pour l’intellect.
Dans une langue acérée, libératrice et troublante, Chienne aborde l’inceste comme un traumatisme personnel et comme un enjeu social.
Quelque part au début du millénaire, une jeune Montréalaise trouve chez Nelly Arcan des mots pour nommer plusieurs de ses tourments.