Écriture des femmes
Stéphanie Jasmin évoque le destin d’une femme ayant connu l’entièreté du XXe siècle dans un monologue d’une lucidité bouleversante.
Dans Rien du tout, d’Olivia Tapiero, aucun personnage, pas d’intrigue, peu d’événements. C’est l’énonciation elle-même qui fait l’objet d’une forme de dramatisation par laquelle la parole est constamment mise en jeu.
Sous la gouverne des amitiés féministes, cet essai souligne la présence de femmes dont l’existence est un engagement constant. Une lutte édifiante, comme l’était celle menée par les sorcières avant elles.
Dans une lettre, Violette Leduc demande à Simone de Beauvoir de lui parler de littérature: parlez-moi des autres. Quel risque, quel désir, quelle autre histoire si Leduc avait cessé d’attendre?
Liste de lectures compilée par Nicholas Dawson (doctorant à l’UQAM, directeur littéraire aux éditions Triptyque et auteur), Zishad Lak (doctorante à l’Université d’Ottawa) et Pierre-Luc Landry (professeur à l’Université de Victoria, directeur littéraire aux éditions Triptyque et auteur).
S’affronter soi-même, ne plus vouloir disparaître. C’est le défi qui attend une jeune femme suicidaire lorsqu’elle accepte, par dépit et lassitude, de traiter ses dépendances.
Yara El-Ghadban, avec Je suis Ariel Sharon, explore la psyché de l’une des grandes figures modernes de l’histoire israélo-palestinienne.
Il y a une vérité propre à la tristesse. Et une raison, bien sûr, à la tristesse des filles. Dans une forme syncopée, deux livres font état du rapport que les filles entretiennent à la mort, internet et la célébrité : Trente de Marie Darsigny et Adieu de Stéfanie Requin Tremblay.
D’abord publié sur Forum dessiné, La fille dans l’écran a fait son chemin chez Marabulle et arrive au Québec grâce aux éditions Station T.