Guerre
Traduit pour la première fois en français par Rachel Martinez, En bas de la côte nous fait voir sous un nouveau jour la Petite-Bourgogne de la Seconde Guerre mondiale. Un rare roman social portant sur la communauté afrodescendante de Montréal.
Retraité de l’armée canadienne devenu antiquaire, Alexandre Jobin a déjà quelques enquêtes derrière lui. Mais ce n’est pas pour cette raison que les services de renseignement canadiens font appel à lui le 4juin 2005.
Avec son deuxième roman, Sans capote ni kalachnikov, Blaise Ndala donne la parole à un ancien soldat d’une guerre africaine moderne et questionne l’attitude occidentale vis-à-vis des atrocités commises en Afrique.
Dans un monde qui fait fi des nationalismes et des ethnicités, ce livre nous rappelle la trame complexe de l’Histoire et les subtilités de ce qui fait un pays.
Dans Les lois du jour et de la nuit, Emmanuelle Caron lie le fantastique à l’activité la plus brutalement réaliste: la guerre. Toutefois, l’ouvrage fonctionne trop par opposition.
Une recension des trop nombreuses réalités dont nous sommes témoins, victimes, auteurs ou complices, d’où ce «nous» d’une guerre exercée à la fois par et contre nous-mêmes.
Associé à la bataille des Plaines d’Abraham, c’est un héros pour certains, un homme mal adapté à la réalité de la Nouvelle-France pour d’autres. Une chose est sûre: Montcalm a marqué l’histoire nord-américaine.
L’auteur de L’orangeraie nous revient avec le troublant personnage d’un garçon aux prises avec l’horreur des champs de bataille.