Photographie
Quelques-unes des photographies de Lawrence Fafard, prises pour le numéro 188 portant sur le poète Jean-Paul Daoust, sont rassemblées ici.
Aux côtés d'Alexandre Vanasse, Pierre Seager signe la facture visuelle du numéro portant sur l'écrivain et nouvelliste, Maxime Raymond Bock. LQ a rassemblé ici toutes ses photographies.
Véritable livre-objet, Je ferai battre le cœur des pommes, de l’artiste multidisciplinaire Marc-André Foisy, est un lieu où l’acte de lecture trouve une respiration, tend l’oreille et écoute ce qu’une image et un mot peuvent se dire en secret.
Le 1er octobre dernier avait lieu la première édition du Cabaret de la pensée LQ, un spectacle littéraire présenté par le Festival International de la Littérature 2022. Alexandre Cotton, un photographe du FIL, s’est rendu sur place pour immortaliser la soirée. Voici ses photographies!
La photographe Lorraine Gilbert colore Bouquet d’une poésie digne des plus grand·es carnettistes.
« L'essai au Québec | Écrivons-nous pour changer le monde » en photos
Un livre nuancé, profond, parsemé de détails et doté d’une gravité engageante pour les lecteur·rices.
Un livre énigmatique, d’une poésie drue et franche, par une artiste qui persiste à chercher le lieu.
Sont rassemblées ici, toutes les photos de Sandra Lachance réalisées pour le dossier Blaise Ndala.
Parce qu’il présente une réalité qu’on aurait tôt fait de rejeter du revers de la main, Emmanuelle Léonard. Le déploiement / Deployment se lit et se contemple avec intérêt.
Bertrand Carrière: Solstice représente un jalon dans le cheminement de l’artiste et une pierre d’assise pour l’histoire de la photographie au Québec.
Constituée de nombreux documents photographiques et d’essais, nul doute que l’imposante monographie marquera les mémoires; le travail du «premier photographe canadien de renommée internationale au XIXe siècle», William Notman, y restera gravé.
Ce projet offre une méditation prenante sur la notion et la signification du lieu, du monument et de ses devenirs.
Dans Impermanence, l’éphémère réside aussi bien dans le portrait d’un être cher que dans un arbre vieux de cent ans ou dans une barque où l’écope est inutile.
Sous le pseudonyme de Catherine Sylvestre, la romancière Francine Pelletier redonne vie à sa sympathique «vieille fille» par une histoire aux nombreux possibles, qui aurait toutefois nécessité un meilleur travail éditorial.
Un livre au charme fou, fait de photographies en noir et blanc dont l’esthétique est en phase avec le lieu qu’elles représentent.
Mélanie Leclerc est bien la petite-fille de Félix Leclerc, donc la fille de Martin Leclerc, photographe et caméraman reconnu et fils aîné du poète. C’est dit. Maintenant, parlons de ce très beau livre.
Malgré des textes assez conformes et manquant de relief, le troisième ouvrage sur le travail de ce grand photographe demeure indispensable.
Le livre de Michel Campeau est un huis clos familial sans cynisme aucun, animé par la bienveillance d’un artiste pour un autre.
Y a-t-il plus dangereux, en matière de genre, que l’appel de la nature?
Œuvre éclatante menée par une technique photographique originale, mais dont le propos scientifique semble confus et variable.