Entretien
D’un chic simple, cette publication a le mérite d’allumer une étincelle de militantisme chez les lecteur·rices.
Nous avons invité Diane Régimbald à réfléchir à son parcours en partant de quelques citations, certaines tirées de ses propres œuvres; d’autres, d’ouvrages qui semblaient entrer en résonance avec ses préoccupations.
Rencontre avec Benoît Chaput, de L’Oie de Cravan, pour les vingt-cinq ans de la petite maison d’édition.
Dominic Tardif rencontre Gaëtan Dostie dans le nouvel antre de la médiathèque qui porte son nom.
Les questions restent, les réponses changent. Voici celles d’Audrée Wilhelmy.
Soucieuse de réfléchir à sa pratique d’enseignante, Eftihia Mihelakis a choisi de le faire sous la forme de dialogues croisés.
La science-fiction québécoise est en effervescence ces dernières années. Quelles sont les particularités du genre à l’aube de 2021, notamment dans une perspective dystopique? LQ a rencontré cinq experts afin de discuter des spécificités actuelles et à venir: Jonathan Reynolds, coéditeur avec Guillaume Houle des Six Brumes; Christiane Vadnais, responsable du laboratoire Alea à Alto; Mathieu Villeneuve, directeur de la collection «Satellite» à Triptyque; Fanie Demeule, directrice de la collection «Tête ailleurs» à Tête première; et Geneviève Blouin, codirectrice, avec Mathieu Lauzon-Dics, de la nouvelle collection «VLB imaginaire» à VLB.
Au printemps 2016, un homme bien habillé a fait scandale. Invité pour une causerie à l’Université de Boston, Gay Talese – écrivain et journaliste, celui-là même que vous avez vu sur Netflix dans un documentaire portant sur le motel d’un voyeur – répondait à un membre de l’auditoire qu’aucune femme reporter ne l’avait jamais influencé puisque les femmes, a-t-il expliqué, ont peur de parler aux étrangers et ne s’intéressent pas aux sujets vulgaires pour leurs reportages.
Petite histoire d’un lieu où les hommes mariés venaient simplement «jeter un coup d’œil aux livres jeunesse non sexistes»…
En mai 2018, le Prix des libraires célébrait ses vingt-cinq ans. Nous avons demandé à cinq libraires quel ouvrage n’aurait jamais dû remporter les honneurs, mais aussi, leur titre préféré gagnant du dernier quart de siècle.
En mai 2018, le Prix des libraires célébrait ses vingt-cinq ans. Nous avons demandé à cinq libraires quel ouvrage n’aurait jamais dû remporter les honneurs, mais aussi, leur titre préféré gagnant du dernier quart de siècle.
En mai 2018, le Prix des libraires célébrait ses vingt-cinq ans. Nous avons demandé à cinq libraires quel ouvrage n’aurait jamais dû remporter les honneurs, mais aussi, leur titre préféré gagnant du dernier quart de siècle.
En mai 2018, le Prix des libraires célébrait ses vingt-cinq ans. Nous avons demandé à cinq libraires quel ouvrage n’aurait jamais dû remporter les honneurs, mais aussi, leur titre préféré gagnant du dernier quart de siècle.
En mai 2018, le Prix des libraires célébrait ses vingt-cinq ans. Nous avons demandé à cinq libraires quel ouvrage n’aurait jamais dû remporter les honneurs, mais aussi, leur titre préféré gagnant du dernier quart de siècle.
La sortie de Paul à la maison offre l’occasion de célébrer les vingt ans de la série en compagnie de deux auteurs·trices qui adorent le travail de Michel Rabagliati: la collègue bédéiste Zviane et le poète Jean-Christophe Réhel, un grand amateur de bande dessinée.
Mélikah Abdelmoumen et Mathieu Bélisle Dans le cadre d’une résidence d’écriture sur le thème de la censure, Mélikah Abdelmoumen a discuté en mai 2019 avec Mathieu Bélisle, essayiste, à la Librairie du Square – Outremont.
Mélikah Abdelmoumen et Mathieu Bélisle Dans le cadre d’une résidence d’écriture sur le thème de la censure, Mélikah Abdelmoumen a discuté en mai 2019 avec Mathieu Bélisle, essayiste, à la Librairie du Square – Outremont.
Les questions restent, les réponses changent. Voici celles de François Blais.
C’est un fait, une conversation entre gens du milieu littéraire n’en est pas véritablement une tant que n’a pas été évoquée l’émission Plus on est de fous, plus on lit!: pourquoi y a-t-on invité un tel plutôt qu’une telle? Fanny Britt finira-t-elle un jour par publier un recueil des chroniques qu’elle y présente? Combien de bouteilles de prosecco Jean-Paul Daoust écluse-t-il pendant le cabaret du vendredi?
Rencontre avec l’artiste tentaculaire et fondatrice des éditions Le laps, Marie-Douce St-Jacques.
Les questions restent, les réponses changent. Voici celles de Serge Bouchard.
Un long métrage sur la vie du poète Yves Boisvert (1950-2012) a pris l’affiche le 23 novembre dernier. Rencontre avec le réalisateur et coscénariste Yan Giroux et le comédien Martin Dubreuil, qui interprète l’artiste disparu.
Marie-Michèle Giguère s’est entretenue avec l’écrivain et l’éditeur Bertrand Gauthier, fondateur en 1978 de La courte échelle.
Marie-Michèle Giguère s’est entretenue avec l’écrivain et l’éditeur Bertrand Gauthier, fondateur en 1978 de La courte échelle.
Leurs premiers textes n’étaient pas destinés à la jeunesse. Pour elle, des nouvelles, des romans, un hommage à son amie Nelly Arcan. Pour lui, bien sûr des chansons et des poèmes, mais aussi un récit, puis des romans. Alors, qu’est-ce qui a provoqué leur piqûre pour la littérature jeunesse?
Leurs premiers textes n’étaient pas destinés à la jeunesse. Pour elle, des nouvelles, des romans, un hommage à son amie Nelly Arcan. Pour lui, bien sûr des chansons et des poèmes, mais aussi un récit, puis des romans. Alors, qu’est-ce qui a provoqué leur piqûre pour la littérature jeunesse?
Si l’on veut faire lire les jeunes et les adolescents, il faut leur offrir des voix sincères et des ouvrages de qualité, défendent l’auteur Simon Boulerice et l’éditeur Maxime Mongeon.
Si l’on veut faire lire les jeunes et les adolescents, il faut leur offrir des voix sincères et des ouvrages de qualité, défendent l’auteur Simon Boulerice et l’éditeur Maxime Mongeon.
Ils ont étudié le design graphique et œuvré à l’extérieur du milieu littéraire avant de devenir auteurs et illustrateurs. Comment Catherine Lepage et Guillaume Perreault en sont-ils venus à écrire pour les jeunes?
Ils ont étudié le design graphique et œuvré à l’extérieur du milieu littéraire avant de devenir auteurs et illustrateurs. Comment Catherine Lepage et Guillaume Perreault en sont-ils venus à écrire pour les jeunes?
C’est leur amour de la lecture et des histoires qui ont fait plonger Yves Nadon, auteur, professeur au primaire pendant trente-cinq ans et cofondateur de la maison d’édition D’eux, et Mathieu Lavoie, auteur, illustrateur et cofondateur des Éditions Album.
C’est leur amour de la lecture et des histoires qui ont fait plonger Yves Nadon, auteur, professeur au primaire pendant trente-cinq ans et cofondateur de la maison d’édition D’eux, et Mathieu Lavoie, auteur, illustrateur et cofondateur des Éditions Album.
Frère et sœur, mais aussi autrice prolifique et fondateur visionnaire des éditions Les Malins, Catherine et Marc-André travaillent ensemble depuis les années 1990.
Frère et sœur, mais aussi autrice prolifique et fondateur visionnaire des éditions Les Malins, Catherine et Marc-André travaillent ensemble depuis les années 1990.
Œuvrant depuis quarante ans dans l’édition jeunesse au Québec, Robert Soulières a discuté avec l’écrivain Patrick Isabelle, nouveau venu de ce côté du miroir.
Œuvrant depuis quarante ans dans l’édition jeunesse au Québec, Robert Soulières a discuté avec l’écrivain Patrick Isabelle, nouveau venu de ce côté du miroir.
Dominique et Marie Demers écrivent pour les jeunes et les adultes. Elles jugent que la littérature jeunesse devrait davantage être enseignée à l’université, notamment au regard de leurs grandes qualités littéraires, trop peu reconnues.
Dominique et Marie Demers écrivent pour les jeunes et les adultes. Elles jugent que la littérature jeunesse devrait davantage être enseignée à l’université, notamment au regard de leurs grandes qualités littéraires, trop peu reconnues.
Pour ce livre consacré à la pratique de la metteuse en scène Brigitte Haentjens, Mélanie Dumont a réalisé douze entretiens avec de proches collaboratrices et collaborateurs de celle qui dirige la compagnie Sibyllines depuis plus de vingt ans avec poigne et finesse.
Lorsque je me présente au bureau des Herbes rouges pour y rencontrer leurs éditeurs François Hébert et Roxane Desjardins, la nouvelle du jour est celle de la première photographie d’un trou noir. Hébert me dit : « La poésie, c’est un peu comme un trou noir. On y entre et on n’est pas certain d’en sortir. Bon, je vais faire du thé. » J’apprécie la lenteur de ce début de rencontre, et Roxane semble s’en apercevoir : « Bienvenue dans le temps des Herbes rouges », m’envoie-t-elle, un brin narquoise, tandis que François se dirige vers le balcon pour une cigarette.