Adolescence
La pièce de Marilou Leblanc aborde avec une rare authenticité la délicate entrée d’une femme dans l’âge adulte.
Camille, l’héroïne de Pratique d’incendie, de Kiev Renaud, est une banale adolescente de treize ans. Pourtant, tout la tue et conspire à la tuer.
Depuis le début de sa carrière de bédéiste, Guy Delisle nous a beaucoup fait voyager. Dans Chroniques de jeunesse, c’est vers son passé qu’il nous entraîne.
Forêt d’indices se lit comme un voyage à rebours, une expédition au cœur des amours qui défient le monde, au beau milieu des adolescences en ruines.
Les deux premières pièces de Marianne Dansereau sont aigres-douces. Il s’agit de textes irrévérencieux, satiriques, mais aussi tragiques et même, en fin de compte, politiques.
Une renommée mondiale en arts visuels, des romans à succès, deux films, des apparitions médiatiques fréquentes: la feuille de route de Marc Séguin impressionne. Malheureusement, son premier livre de poésie est un faux pas.
Mâtiné de secrets, imprégné jusqu’à saturation d’une ambiance anxiogène, École pour filles dénoue sa trame sous forme cryptique et se situe du côté de l’irrésolution et de l’ambiguïté.
Il faut un œil exercé, un cœur tendre et une âme particulièrement résiliente pour déceler la poésie cachée entre les maisons de passe et les crackhouses de la Main. La nouvelle traduction de son premier roman couronne Heather O’Neill reine des royaumes malfamés montréalais.
Si on était rassemble les délires fantasques de Marie et Nathalie, deux héroïnes à l’amitié inébranlable.
Les fêtes de l’adolescence sont des ponts étroits et périlleux entre l’enfance et la relative stabilité identitaire du monde adulte.
Une nouvelle autrice au style empruntant à la bande dessinée japonaise, un charmant album bien fait, pourquoi n’arrive-t-on pas à s’emballer davantage?
Nouveau joueur en édition jeunesse, Espoir en canne publie un premier recueil de poésie, consacré à l’univers inusité du heavy metal et de son influence à l’adolescence.
Les ombres magistrales projetées tant par les Smiths que par Boris Vian abondent dans ce premier roman de Catherine Lemieux.
Les petits garçons fournit l’occasion d’apprécier les filles pour ce qu’elles sont et peuvent être, dans leurs détours et leurs égarements vers l’âge adulte.
Par le prisme de la famille et du couple, dans un savant mélange d’humour et de gravité, Pascale Renaud-Hébert aborde la maladie et la mort, la délicate question du deuil.